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III - LE REPORTAGE PHOTO

 

__chapitre 2____________________________
                                                                                 De l'appartement à l'hôtel

 

 

"Salut" "Ca va?" "Oui merci" "C'est quoi ton prénom encore ?" Voilà, les présentations sont faites, on attend plus que Artscoop qui débarque deux heures plus tard comme si rien ne s'était passé : Artscoop, il s'appelle Steve mais il est vachement sympa quand même (oh ! le cafteur !). Toad, fidèle à lui même, déconne s'en s'arrêter, tandis que Lightben grifonne sur son bloc-notes tout en participant à la conversation diverse et variée, Rythmée par les interventions de la voix grave du Caliméro, moins grand que ce que j'avais imaginé. Nos propos tournent essentiellement autour de la click-convention et de la communauté en général, malgré un petit crochet sur un débat d'idée : la croyance et la fatalité, que du coup vous avez pu voir partout dans les dessins de Toad quand il me fait parler.

(...)

La journée se passe sympathiquement, et en quelques minutes il est déjà largement l'heure de se trouver à manger. En partant, Toad n'oublie pas de me coller une étiquette orange dans les cheveux avec laquelle je vais me balader une heure durant sans m'en apercevoir : comme si j'avais déjà pas l'air assez efféminé comme ça ! On hésite, on va a la brasserie, on regarde les prix et du coup on s'en va, on va à la Sandwitcherie, on regarde les prix et du coup on s'en va, et on termine enfin à Francprix à acheter pleins de trucs caloriques pour tenir la soirée ; Celle-ci se passe à la vitesse de l'après-midi, entre des prises de photos et des crayonnages nerveux, sur fond de discutions communautaire. Le tout a fini vers 2 heures du mat, grâce à Toad qui maintenait les troupes en vie contre leur gré à coups d'anecdotes délirantes auxquelles je participais, semi-passivement. On finit quand même par se taire et s'endormir dans un amas de sac de couchages et de ronflements douteux.

(...)

Le reveil fut déjà plus difficile : seul Lightben, en guerrier des steppes gelées de russie, se résout à prendre une douche matinale, pendant que nous nous tentons d'émerger devant des restes de quatre-quarts et un café bouillant : on part en retard, on galère un peu même si Artscoop, notre parisien, nous à sauvé d'une longue recherche de route dans le bordel des souterrains véhiculés : RER B, RER A, nous voilà presque arrivé, alors que pendant le trajet tout le monde a fini de se réveiller et fout joyeusement le bin's : on arrive après quelques hésitations à trouver l'Hôtel de la Click-Convention, où les premiers s'engouffrent en hâte tandis que Cali et moi finissions notre médicament pour la gorge (Sic). Click-monde, nous voilàààààààààààààààààà !

Enfin dans L'appart, nous prenons nos aises

 

... On est même très très à l'aise !

 

Dans le train, dur de dire si Cali est mal réveillé ou s'il pense aux problèmes Socio-politiques de l'Andalousie

 

 

 

 

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Dossier rédigé par Cyb, avec des photos et des illustrations de Lightben et Toad